SUD OUEST SE MOBILISE POUR L’UKRAINE

Le quotidien Sud Ouest se mobilise et soutient la population d’Ukraine avec la mise en place de plusieurs dispositifs :
– Depuis le 24 février, la rédaction propose un live de 7h à 23h avec les dernières informations de la situation sur place
– Un dossier spécial afin de référencer la multitude d’actions et de gestes en soutien au peuple ukrainien
– Une collecte organisée en partenariat avec Sud-Ouest Solidarité en faveur des associations Secours Catholique-Caritas France et #UkraineAmitié

TÉLÉTRAVAIL : LA NOUVELLE NORME ? OUI, SURTOUT EN RÉGION ILE DE FRANCE

28% des actifs déclarent toujours être concernés par une mesure de télétravail aujourd’hui, soit 8.4 millions d’individus : un chiffre qui passe à 43% quand on se concentre sur la région IDF. Plus globalement, ce sont 35% des actifs interrogés qui nous déclarent qu’un accord de télétravail a été signé au sein de leur entreprise (et 46% en région parisienne) : une mutation dans l’organisation du travail largement héritée de la crise sanitaire et devenue réalité, bientôt 2 ans après le début de la pandémie. Une pratique qui reste davantage l’apanage de la région IDF même si elle se généralise progressivement à l’ensemble du territoire pour devenir une « nouvelle » réalité quotidienne partagée par tous. A noter que dans 39% des cas, cet accord porte sur 3 jours par semaine ou plus selon les actifs interrogés.

DES ACTIFS TELLEMENT HABITUÉS AU TÉLÉTRAVAIL QUE LE BUREAU NE LEUR MANQUE « PRESQUE » PLUS

En un an, le pourcentage d’actifs en télétravail déclarant que le bureau leur manque a été divisé par deux : quelle meilleure preuve de l’adoption réussie d’une nouvelle organisation du travail en France ? Et parmi le quart d’actifs qui se déclare encore « nostalgique » du présentiel, on observe que c’est le travail en équipe qui fait le plus défaut en télétravail, avec 19% de citations (-4 points en 1 an). Deux ans après une adoption contrainte de ce nouveau mode de travail à distance par une partie des actifs en France, la tendance s’est totalement inversée. Critiqué initialement pour sa privation de mobilité ou de contacts humains avec ses équipes, le télétravail est aujourd’hui plébiscité par une large majorité de Français qui peinent d’ailleurs à retrouver le chemin du travail en présentiel.

PROCHAINE ÉTAPE : LA SEMAINE DE 4 JOURS ? UNE ASPIRATION POUR 41% DES ACTIFS AUJOURD’HUI

Maintenant que le télétravail est devenu la nouvelle norme pour plus d’un tiers des actifs en France aujourd’hui, les salariés imaginent de nouvelles adaptations dans leur organisation du travail à l’avenir. Ainsi, lorsqu’on les interroge sur leur organisation idéale, ils sont 41% à citer la semaine de 4 jours, déjà adoptée par certaines entreprises en France. Une proposition qui fait écho à une volonté croissante de mieux concilier vie professionnelle et vie personnelle pour des salariés en quête de nouveaux modèles, à même de préserver les expériences positives vécues au plus fort de la crise sanitaire tout en conciliant retour en présentiel. D’ailleurs, le mix présentiel/distanciel est plébiscité par 19% d’entre eux alors que le 100% télétravail ne remporte que 12% des suffrages.

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